liz rated La démocratie aux marges: 3 stars

gender euphoria for all 🏳️⚧️✨️
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Tamos, jeune artiste sensible, emo et scorpion, mène une vie paisible à Bruxelles City, accompagné·e de ses potes, de son …

Je pense qu'à ça, vieillir avec vous. Vieillir tous ensemble ici, avec les fous, les cons, les trans, les chats …

Là où le fascisme estime que seules certaines vies sont dignes d’être vécues, la pensée queer et féministe nous enseigne …

Paloma, Céleste, Sierra, Apolline et Chélonia sont « les filles zarbies, les solitaires, les rejetées du lycée ». Elles traînent …
Deux femmes, Béa et Érica, tombent amoureuses à la veille de l'occupation des Pays-Bas par les nazis durant la seconde guerre mondiale. Si elles décident presque immédiatement de s'installer ensemble, se dire et vivre leurs sentiments suppose encore une autre prise de conscience, celle de l'existence d'une homophobie sociale et intériorisée que seule une des deux héroïnes parviendra véritablement à dépasser, dans des circonstances rendues tragiques par le contexte de la montée du fascisme. Rédigé comme un pulp novel à l'américaine, ce roman de 1956 étonne par son lyrisme et la finesse des affects et des relations humaines qu'il décrit - on pense à Annemarie Schwarzenbach, Erika Mann, Irmgard Keun... Il constitue aussi un document précieux sur l'existence lesbienne dans différentes classes sociales et les outils de sa répression dans l'Europe nazie.
NB: Érica, l'une des deux protagonistes, est décrite comme toujours habillée de "chemises d'homme" et passe souvent …
Deux femmes, Béa et Érica, tombent amoureuses à la veille de l'occupation des Pays-Bas par les nazis durant la seconde guerre mondiale. Si elles décident presque immédiatement de s'installer ensemble, se dire et vivre leurs sentiments suppose encore une autre prise de conscience, celle de l'existence d'une homophobie sociale et intériorisée que seule une des deux héroïnes parviendra véritablement à dépasser, dans des circonstances rendues tragiques par le contexte de la montée du fascisme. Rédigé comme un pulp novel à l'américaine, ce roman de 1956 étonne par son lyrisme et la finesse des affects et des relations humaines qu'il décrit - on pense à Annemarie Schwarzenbach, Erika Mann, Irmgard Keun... Il constitue aussi un document précieux sur l'existence lesbienne dans différentes classes sociales et les outils de sa répression dans l'Europe nazie.
NB: Érica, l'une des deux protagonistes, est décrite comme toujours habillée de "chemises d'homme" et passe souvent pour un jeune garçon - pourquoi avoir choisi cette couverture 😭

Il y a dix ans maintenant était promulgué le «mariage pour tous ». Une reconnaissance à l’arrière-goût amer et non …

Avec Si nous étions adultes..., Takako Shimura signe une oeuvre particulièrement moderne, en scrutant de près l'intimité de ses personnages. …

Pour pouvoir vivre, la narratrice de Permafrost n’a eu d’autre choix que de se protéger des femmes auprès desquelles elle …
This is such a wonderful book: as many Sarah Schulman's novels, Empathy is built on a productive tension between different narrative threads and a multitude of references. It tells the story of Anna, a Jewish lesbian woman from New York's Lower East Side who's seen too many of her friends die of AIDS and is desperate to find a lover that would not be ashamed or insecure about being queer and loving women. Meanwhile, it also unfolds a multi-layered intertextuality, which includes Freudian analysis and its most famous "case studies" about women, but also borrows from Ashkenazi Jewish American literature and especially theater. This allows for a collage of different forms of writing that delves deep into relationships, urban life, individual and collective psyche and politics.
This is such a wonderful book: as many Sarah Schulman's novels, Empathy is built on a productive tension between different narrative threads and a multitude of references. It tells the story of Anna, a Jewish lesbian woman from New York's Lower East Side who's seen too many of her friends die of AIDS and is desperate to find a lover that would not be ashamed or insecure about being queer and loving women. Meanwhile, it also unfolds a multi-layered intertextuality, which includes Freudian analysis and its most famous "case studies" about women, but also borrows from Ashkenazi Jewish American literature and especially theater. This allows for a collage of different forms of writing that delves deep into relationships, urban life, individual and collective psyche and politics.